25 octobre 2010

Mes filles détestent les changements de saison...

La phase 2 du changement de saison, ce sont les essayages...
Jusqu'ici, les gaminettes ont été épargnées, et bien c'est fini... Avec les cartons de l'an dernier, les cartons des copines et les cadeaux des mamies commencent les essayages. Pour éviter tout dépaysement, tout commence par des tas : le 8 ans, les rares 7 ans, le 6 ans et le 5 ans (oui, oui, plus le tas des vêtements en stature et pas en âge). Rapidement on note une certaine disparité dans les tas :
- les grands 8 ans qui vont rejoindre les 10 ans et les 12 ans qui patientent, attendant leur tour, dans un carton
- les grands 6 ans qui rejoignent le tas des 7 ou des 8 ans
- les grands 5 ans qu'on stocke avec les 6 ans
- les 5 ans qu'on a jugé grands la saison précédente mais qui sont vraiment riquiqui
- Mais que font ces 4 ans dans ce carton ?
Vient un moment ou le "vu de nas" ne suffit plus... On appelle une gamine (au hasard, la grande) et on lui fait essayer les vêtements. Qu'on dispatche en tas :
- ceux qui vont
- ceux qui sont trop grands (direction le carton pour plus tard)
- ceux qui sont trop petits (direction le tas de la petite soeur)
En général, on est équipé d'une gamine dont la taille globalement, c'est "pas pareil", et là, c'est pas drôle : exemple chez nous : Grand pois fait du 8 ans en haut (rapport aux manches qui en 6 ans sont toutes 3/4) ou du 7 ans quand ça existe et du 6/7 ans en bas, sauf pour les pantacourts ou elle met encore facilement le 5/6 ans (arggggggg), le 8 ans donc, on oublie sauf pour les robes ou elle pourra mettre selon les modèles du 6 ou du 8 ans (oui, le 7 ans quand il y en a) du coup, faut toutes les essayer...
Le cauchemar, se sont les pulls et gilets, je ne sais pas ce que fument les fabricants mais ma grande porte selon les modèles et les marques du 4 au 10 ans... cherchez l'erreur, là encore on essaye tout. Et les jupes? Globalement elle porte du 6 ans si il n'y a pas d'élastique réglable et, en serrant bien, certains 8 ans (oui, et le 7 ans...)
Ha oui, les joies de l'élastique réglable... Alors je suis d'accord, c'est une super invention, mais... La règle la plus élémentaire de survie chez nous étant le recyclage, les vêtements viennent pour la quasi totalité des copines (merci les filles <3 ), des vides grenier et d'Emmaüs. Forcement certains sont plus que distendus, pour d'autres, désolée mais il y a une limite au nombre de plis que les tours de taille petit-poitesque de mes filles peuvent supporter, régulièrement c'est pile poil la bonne longueur et impossible à régler à la taille : direction la pile à donner.
Quand la grande se pâme au milieu des tas de fringues, j'ai pitié, j'appelle la petite...
Autre paire de manche... mademoiselle Petit pois a des avis très arrêtés sur ce qu'elle daigne porter, d'une manière générale, le rose, le mauve le violet, les paillettes sont en odeur de sainteté, les robes et jupes qui tournent aussi. Tout le reste, beaucoup moins. Il faut néanmoins prévoir les froides journées d'hiver où les collants et la jupette pays-des-fées vont être un peu juste, surtout que la fillette est frileuse. Très. Genre à enfiler un pantalon molletonné même s'il est ... marron ou vert. Même avec un gros pull épais bleu pétrole...
Mais pour les lui faire essayer un jour d'automne plutôt doux...
Ben ça râle. Pendant tout l'essayage, sauf pour les robes qui tournent ET qui sont roses et violettes à paillettes... Et si par malheur une robe rose est trop petite, c'est le drame absolu, je me souviens d'une certaine jupe mauve avec un jupon en tulle que j'avais malencontreusement jugé apte à faire un hiver de plus et qui, bien que peinant à couvrir le haut du collant fit une année de plus, il y a des choses contre lesquelles on ne lutte pas...
Quelques batailles plus loin, les tas regagnent les étagères, et là on fait le compte... Cette année, mon Grand pois peut ouvrir une boutique de pulls et gilets, grâce à la générosité des fabricants (du 4 au 10 ans) elle en a trois piles (une pile = au vu de nas 4 à 6 pull), elle n'ira pas cul-nu non plus j'ai compté une dizaine de pantalons... les robes et jupes, on est bon, par contre, étonnamment, les collants et les tee shirts à manches longues ne matchent pas vraiment, et même si elle ne voit pas de souci à "assortir" une robe rouge et un collant rose avec un haut vert et bleu, ben j'évite... On va sans doute aller faire le plein de collants...
Pour Petit pois, c'est plus étrange, elle a bien des jupes et des pantacourts, et un nombre raisonnable de pulls et gilets, mais assez peu de pantalons et de robes (assez peu, mais bien assez pour l'hiver, on se calme les mamies et marraines ;-) ), du coup, là encore je vais devoir trouver un fournisseur de collants...
À ce moment du rangement, quand les tas sont bien tous distribués dans une rigueur toute scientifique, j'avise un carton tout seul dans son coin... ON A OUBLIÉ LES PYJAMAS... On a oublié les pyjamas...
Pour des raisons indépendantes de ma volonté, cet hiver, mes filles arborerons fièrement des pyjamas "au vu de nas", non pasque, à un moment, juste faut pas poussy!!
Ha et tant que j'y suis, les copines, j'ai décidé de briser la chaîne des fringues BHAAAAA. Ouaip, vous voyez parfaitement ce que je veux dire : les trucs de fond de cartons que vous avez toutes fait semblant de ne pas voir, qui doivent bien dater de ... plus que ça, qui n'ont plus été portés depuis la fin des année 90 au bas mot (non il n'y a pas encore un revival 90, ce n'est pas possible, même dans les années 80 on avait meilleur goût...). Les machins qui circulent de carton de copine en carton de copine et finissent dans mon salon : les robes blanches imprimées de moches fleurs stylisées type tapisserie, à grand col rond bordé de dentelle synthétique qui gratte, avec une longueur indéfini, probablement mi mollet, les corsaires avec un volant en bas (oui et de la dentelle qui gratte), les Tshirt Pig Power (sic) ou synthétique "peau de pêche". Alors un soir après le coucher des filles, j'ai tout mis dans le carton pour Emmäus (pas osé jeter des fois qu'il arrive le revival 90) et bien fermé le carton. Non parce que si je ne fais rien,mes Pois ont un talent caché pour les trouver, les horreurs, même quand je les planque bien au fond d'un carton pas fermé, ou sous la pile "à donner". La grande se délecte de tout ce qui défie la notion d'équilibre des couleurs, la petite de tout ce qui porte volant... Et après je me retrouve à Super U avec deux lampadaires un en couleur, l'autre à volant, vous le voyez, le tableau?

24 octobre 2010

Je déteste les changements de saison!!

Non, je ne parle même pas des nez qui coulent de la pluie qui s'invite du gris qui s'amoncelle, je parle de l'horreur bisannuelle qui guette tout un chacun, spécialement les mères de famille mono sexuelle (oui quand vous ne savez faire au choix que les filles ou que les garçons). Vous me voyer venir? Je parle de l'horreur des rotations de garde robe. Si vous êtes un adulte basique, vous pensez avoir une vague idée du problème, c'est vrai quoi, c'est pas drôle de vider sa garde robe, de sortir des cartons pleins de poussière dégoulinant (si si ça peut dégouliner la poussière) sur vous, d'en sortir des vêtements que vous aviez oublié, de faire un éventuel tri de ce que vous ne mettez plus depuis X années et d'enfermer dans les mêmes cartons les fringues de la saison opposée. Ben vous n'y êtes pas du tout. La rotation des vêtements d'une mère de famille, c'est l'horreur, ça dure des jours, ça plombe le moral et ça fait éternuer pendants des heures.
Ça commence par un simple constatation barométrique "Ça fraîchirait pas un peu, non?" ou "Il fait chaud ces jours ci, hein". Ne pas s'y fier : en mai il peut neiger après une tentative de mise au beau qui tourne court et en novembre il peut y avoir des journées harponnant haut la main un 30 degrés fillette. Attendre donc que les enfants soient au choix bleus de froid ou écarlates dans leur col roulé. Là il est inutile de reculer, il va falloir s'y mettre!
Prenons par exemple (au hasard, comme ça) le passage de l'été à l'hiver dans une petite famille comptant deux fillettes de 5 et 7 ans (allant donc sur 6 et 8 ans, ça a un importance capitale pour la suite)...
Il convient d'attendre un week-end de préférence gris pour s'y mettre : on commence par vider la garde robe d'été, dans un bel élan de rationalisation, on vire les tailles dépassées : le 4 ans, c'est fini, houla, ya encore du 3 ans qui traîne...
Et là commence le casse tête des tas :
Ben oui, il y a le tas "à jeter", presque le plus facile, les trucs vraiment abîmés
immettable, impossible à donner même à Emmaüs
Le tas des "pas possible" que tu poses sans état d'âme dans un carton "à donner" : les trucs rose ou jaune fluo (à fleurs violettes sur fond jaune d'or, à pois rayés...) que tu n'imagines pas voir sur tes enfants une année de plus tant ils te donnent mal au crâne quand tu les vois dedans, les machins qui ne ressemblent à rien pas repassés (non je ne repasse pas, ou du moins le moins possible)
Les petits trucs adorables que tes enfants refusent mordicus de mettre (enfin surtout la petite, la grande elle met tout ce qu'il y a dans sa garde robe, surtout les trucs fluos, à fleurs, à rayure et à paillettes, de préférence pas repassés quand un repassage s'avère indispensable)
Le tas des trop petits "à donner" ou tu te demandes pour la énième fois si tu vas ou non garder les fringues trop petites que tu aimes particulièrement des fois qu'un(e) troisième enfant pointerai son nez, notez bien la parenthèse : si ce troisième enfant passait le conditionnel, encore faudrait-il qu'il soit une fille... Bref dilemme donc.
Le tas des trop petits mais à garder des fois que (vous avez compris) : toutes ces petites fringues adorables qui te racontent tant d'histoires d'amour avec tes filles et que tu ne te résous pas à donner, cachée derrière ton excuse "desfoisque"...
Et il y a le maléfique tas "pour l'an prochain" : les vêtements de la grande qui pourraient encore aller l'an prochain, les vêtement de la grande qui iront à la petite l'an prochain, les vêtement de la petite qui pourraient encore aller l'an prochain.
Et là, commence le casse tête : dans ton immense prévoyance, tu as fait un carton "petit pois été" et un autre "grand pois été", alors le 5 ans, c'est facile, ça va dans le trop petit, par anticipation, sauf ce truc là en 5 ans certes mais un grand 5 ans qui pourait bien aller encore une année, ha et celui là aussi...
Bon le 6 ans, c'est facile : c'est pour la petite l'an prochain, on avisera sur le moment si ça peut ou non faire une saison de plus pour la grande...
Mais qu'est ce que faire du 4/6 ans? Trop petit? Encore bon pour une année? Rhaaaaaaaaaaaaaaa!!
Quid du 6/8 ans? Pour la grande, la petite? Les deux? Ingérable : testé cette année et impossible : les vêtements sont pour pour un enfant à la fois point barre.
Là on se met à faire un truc ignoble : on superpose avec un 6 ans (pour la petite) et un 8 ans (pour la grande) et "au vu de nas" on dispatche dans les deux cartons, le scientifisme de la situation n'aura échappé à personne!
Haaaaaa approche le truc impossible, le cauchemar dans un tas qui grossit mine de rien : les tailles en stature et pas en âge grrrrrrrrrrrrrrrrr!! Alors, c'est quoi déjà 112? 6 ou 7 ans? Une énième vérification sur internet plus tard, tu t'assois et tu te rends compte que tu as déjà oublié... Donc tu superposes. Et tu dispatches. Au pif...
Note au passage : il y a deux âges charnières qui sont un casse tête majeur pour les mamans : le 2 ans n'existe presque plus chez les bébés (0-2 ans ça s'arrête en général avant 2 ans) et quasi pas encore chez les enfants (les enfants, c'est 3 à 6 ans...), donc à 2 ans, tu ne t'habilles pas, tu exploses dans le 18 mois/2 ans ou tu flottes dans le 3 ans... Et à 7 ans, d'un coup, tu passes aux tailles de 2 en 2 ans, donc si tu n'as pas assez grandi et qu'un 7 ans serait bienvenu, ben tu flottes ou ... tu exploses, ou tu bénis les quelques marques qui ne t'imposent pas le choix entre un 6 ans feu au plancher ou un 8 ans baggy attitude...
Note : à ce moment du tri, les étagères sont vides, il y a des tas partout dans la maison et pas un carton "hiver" n'est sorti, tu as besoin d'une pause, tu pars blogger. 1 à 2 H plus tard, pas un carton "hiver" n'est sorti et il y a des tas partout dans la maison. Donc j'y retourne, la suite demain (vu le nombre de mois écoulés depuis mon dernier message, ça devrait aller)...

15 mars 2010

Quoi, l'éternité...

Il est de ces personnes que je crois éternelles, tant elles sont ancrées au rocher de ma vie, une page se tourne, le rocher est tombé, me reste l'amertume.
Le vieux chanteur est mort, crinière en neige, corps en souffrance, le vieux poète a passé la porte, je reste, souffle court, collée à l'huis.
Toi, rimailleur, ho veilleur des consciences, toi, juste un cri, comme une fleur qui tombe, fallait-il que tu meures pour que résonnent sur les ondes, les mots autrefois censurés?
Tes mots me sont un patrimoine rebelle, tes notes, l'aile qui les porte à ma bouche.
Ta France se fait mienne, au miel de ta plume, tes révoltes me giflent dans mes indolences et tes amours ravivent la flamme dans mes veines.
Il me semble entendre, l'oreille à ta porte, un grand éclat de rire, devant les mots vides, les insipides déclarations, les courbettes de ceux qui soufflaient tes orages, nourrissaient tes éclats, tes plus belles chansons.
Me reste l'héritage de tes mille chansons, des centaines de notes qui leur font un cortège, compagnon des luttes, des amours, des colères, poète échevelé, ta voix dans mes oreilles vient alléger ma peine.
Par tes mots, par tes chants, tu l'as touchée du doigt. Quoi? L'éternité...

14 février 2010

Un joli ozal

Voici voilà un petit jeu pour gagner un joli sac, et un peu de terre entre les doigts, ben oui, on marche la tête en bas par là bas. C'est par ou l'Australie de l'ozi ozal? C'est par ici

23 décembre 2009

Histoires d'avents d'hier...


J'ai le souvenir d'avents remplis d'odeurs et de couleur : les sablés un peu secs que l'on faisait avec Maman, de la farine plein les cheveux, dont on étalait la pâte si finement que les sablés de brisaient dans les doigts, ou au contraire, si grossièrement qu'ils manquaient toujours de cuisson à l'intérieur.



J'ai le grand bonheur d'avoir une de ces mamans qui ne passe pas derrière les enfants et qui laisse les sablés s'effriter, les ciseaux couper de guingois, les pinceaux se charger de trop de peinture, sans reprendre, ni commenter le bonheur maladroit des petits doigts qui apprennent.


Il y avait aussi, les truffes au chocolat, spécialité de ma grande soeur, mais dont on avait le droit, nous, les petites, de faire des boules régulières à rouler dans le cacao amer.


Ho, il y avait encore ces décorations de papier coloré, ces étoiles de David tracées à l'aide d'un triangle équilatéral qu'il fallait tracer une première fois, puis retourner au bon endroit et tracer une deuxième fois, pointe en bas.



Et les ribambelles d'enfants se tenant sagement par la main, dont maman nous traçait le chef de file, et que nous découpions en tirant la langue et en priant pour que les fragiles mains ne se cassent pas au dépliage, que le pliage en éventail ne glisse pas, en désalignant les robes et les bonnets à pompon..


Et ces flocons de neige en papier plié et découpé que l'on collait aux fenêtres. Et les guirlandes pliées dans du crépon ou découpées dans un papier fort....


Mais mon plus grand bonheur, plus grand encore que le vrai sapin qui perdait ses épines ou la fausse neige en bombe qui colle aux fenêtre et dont on trouve encore des traces à Pâques, c'était la crèche.
A dire vrai, les crèches. Il y eut celle que les enfants du Caté de Maman, en bouteilles habillées de canson, je ne sais même pas si nous en avions eut une pour nous, dans le salon, mais je me souviens du bonheur d'épier ces "grands" et leurs santons surdimensionnés, ou on lisait encore le bonheur des fruits sans les bulles. Il y eut celle de "Pomme d'Api", ou la Famille Sainte côtoyait une famille moderne, familles dont je me plaisait à interchanger les bébés, donnant un peu de modernité à l'enfant Jésus, tandis qu'un Stéphane ou un Laurent rejoignait les bras de Marie.
Il y avait la crèche de Maman, aux fragiles santons de terre peinte, où, une année, un Joseph décapité laissa sa place à un roi mage surnuméraire. Crèche dont l'étable de bois léger me fascinait : couverte de vraie paille et de mousse vert tendre, elle me paraissait plus vraie que nature. Bien plus tard, mes mains devenues plus habilles on repeint l'extérieur de la vieille crèche, malmené par des générations d'enfants curieux et d'adultes nostalgiques.
Et ce cortège rendu flou par le souvenir qui habille les objets de buée : les crèches éphémères, de papier ou de plastique, de ruban et de lumière...Boule transparente ou une Marie décollée de son socle restait la tête en bas, carte de voeux pailletée ou le papier découpé donnait de la profondeur à l'étable, et ou l'on apercevait au loin les rois Mages qui mettaient si longtemps à parcourir les derniers mètres jusqu'à l'enfant...



Puis il y eut mes crèches de jeune femme, puis de Maman, minuscules bijoux de terre ou de plastique, dont la tailles de poupée miniature tentait de repousser les murs de mes appartements de lutin.

Puis il y eut cette boite de carton fané, déposée par Maman, pardon Mamie, un jour de l'avent, quand mes Petits Pois étaient minuscules et qu'une maison et son jardinet de poche permettaient d'envisager une vraie décoration de Noël et non la crèchetimbre-poste et le minuscule sapin synthétique que mes filles ont tenu cette année à déposer SOUS le vrai sapin, le grand, qui perdra ses épines d'ici peu. Dans cette boite, Maman me transmettait toute la magie des Noëls d'autrefois, mon autrefois...





Dans cette boite, un peu d'enfance et de couleur, un brin de fil de laine qui dépasse d'une fillette au point mousse, tricotée il y a des années par une gamine appliquée, une poule sans pattes, un âne et un boeuf, qui peuvent sous la pression de mains maladroites faire le grand écart des quatre pattes : ma crèche, celle que je sortais surexcitée, année après année, de son carton poussiéreux, aux premiers jours de l'avent, cet avent d'hier qui éclabousse, chaque fois que ce carton ressort, des joies d'autrefois les avents d'aujourd'hui.





23 avril 2009

Le facteur est passé...

Et les demoiselles sont ravies

Ravies...



Et comme Internet est plus rapide que la poste...


Merci...


Merci Mamie

27 mars 2009

Mots à petit pois...

Mon Petit pois a la valéricelle et compte sur son puzzle de la France, le nombre d'appartements qu'il y a dans chaque région...